Nul besoin de prouver que l’hospitalisation, quand elle est proposée, est une option indispensable pour assurer le bien-être de l’animal de compagnie. Vous allez vous-même vous rendre compte qu’un soin de qualité réalisé par un vétérinaire ou auxiliaire vétérinaire est bien plus qualitatif que n’importe quelle prise en charge hâtive. D’ailleurs, en fonction du potentiel problème, l’option idéale est de les faire hospitaliser au plus vite. Et même dans ce cas, une maîtrise de l’hospitalisation s’impose surtout pour les nouveaux animaux de compagnie. Voici donc un condensé de l’essentiel à savoir pour un ASV à propos de l’hospitalisation d’un NAC.
Choisir le cadre idéal
Les NAC sont classés en trois grandes catégories : nous avons les mammifères, les reptiles et les oiseaux. Ceci dit, une hospitalisation d’un NAC doit se faire en fonction de chaque espèce de NAC pour ce qui est de l’espace que vous devez leur dédier. Les mammifères doivent bénéficier des cages personnalisées et entretenues au quotidien. Veillez surtout qu’ils ne soient pas mélangés pour éviter le stress de potentiels stress et contaminations. Dans le cas des reptiles, ils doivent être mis dans des terrariums qui offrent les meilleures conditions environnementales. Les plus grands spécimens peuvent même bénéficier d’endroits plus spacieux. Pour les oiseaux, des cages ouvertes, longues et hautes sont nécessaires. Certaines cliniques pour hospitalisation NAC peuvent même disposer de cages avec système de ventilation individuelle pour limiter les contaminations. D’autres gadgets de sûreté peuvent être transposés pour assurer un bon environnement aux oiseaux.
Assurer le bon traitement et une veille permanente
Un cadre idéal ne suffit pas pour qu’une hospitalisation d’un NAC se passe dans de bonnes conditions ; c’est surtout les soins et l’attention que vont recevoir les animaux qui vont déterminer la qualité de cette hospitalisation. Une fois hospitalisé, le nouvel animal de compagnie doit pouvoir bénéficier de soins de qualité au quotidien jusqu’à leur rétablissement. C’est pourquoi la mise en place des protocoles sanitaires et le suivi par le vétérinaire en chef prouvent la bonne qualité de l’hospitalisation. Ce dernier doit surtout veiller à ce que les médicaments soient administrés régulièrement. La bonne dose doit être administrée pour ne pas fausser le traitement médical prescrit. Pour finir, les animaux doivent également bénéficier d’un accompagnement par un auxiliaire vétérinaire sur leurs condition physique pour les surveiller tout au long de la journée afin de prévenir une éventuelle rechute.
L’après-traitement : bien finir son hospitalisation
En période de convalescence, on a tendance à baisser sa garde lors de l’hospitalisation. Voilà une erreur grave qu’il ne faut pas commettre. En fait, c’est pendant cette période que vous allez assurer une guérison complète du patient. Pour cela, pensez à faire plus attention à eux pour éviter qu’ils se sentent seuls et que leurs problèmes s’aggravent de nouveau. S’il est nécessaire, vous pouvez même faire venir le propriétaire de l’animal pour l’aider à retrouver ses repères. Pour conclure, vous devez suivre l’animal jusqu’à son rétablissement complet ; c’est ainsi que vous allez devenir un ASV expert de l’hospitalisation d’un NAC. La formation en ligne de « La Nurserie » propose un module sur les NAC. Apprenez en plus sur ce beau métier d’ASV.
Super intéressant! 😮 Je vais le partager à mes amis.
Merci pour votre commentaire Angela ! 🙂
J’ai eu à gérer l’hospitalisation d’un NAC lors de mon dernier stage, c’était en effet une expérience différente d’un chien ou un chat. Merci pour cet article !